L’addiction :
Pour chaque coureur, courir est, au début, un plaisir. Puis c’est l’engrenage. Quand on se met a courir 5 fois par semaine, 2 fois par jour, quand il pleut, le matin à 6 h, quand on est fatigué… c’est l’accoutumance. Elle conduit souvent au surentraînement.
Le danger, c’est qu’il n’y a plus qu’une seule qui intéresse le coureur addict : la course à pieds. Il néglige, sacrifie tout pour elle (travail, famille,…). Il n’a plus qu’une seule envie : courir.
Quand il doit arrêter son activité (ex : suite à une blessure) il devient irritable, désagréable. Cela peut aller jusqu’à la déprime.
A noter qu’un coureur addict respecte rarement les durées de repos recommandées pour une blessure. Il reprend la course dés qu’il se sent mieux…
hum,hum...